Author Topic: Vidéos, témoignages, interviews, photos, reconsitutions....  (Read 4108 times)

2eRCP|Vazeille

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Içi seront placée toute les vidéos, témoignages, interviews etc... concernant le commando kieffer.






2eRCP|Vazeille

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« Reply #1 on: June 17, 2009, 07:42:42 pm »

exNassau

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exNassau

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« Reply #3 on: June 18, 2010, 06:02:26 pm »
Article paru le 4/6/09, auteur : 2eRCP|Vazeille



Témoignage de Maurice Chauvet (1)



Caporal, 1er Bataillon Fusiler Marin, N°4 Commando





 



 

Maurice Chauvet est l'un des 177 Français du Commando Kieffer, qui débarque le 6 juin 1944 à Sword Beach. Il appartenait à ce moment à la Section de Renseignement et il devait effectuer la liaison entre l'Etat-major et les troupes. Pour en savoir plus sur le 1er Bataillon Fusiler Marin, cliquez ici



Blessé, il est evacué en Angleterre 5 jours plus tard. A Londres, le Quartier Général des Opérations Combinées le mandate pour réaliser un reportage sur son expérience personnelle et ses souvenirs du Jour J. Avec un soucis de réalisme, il réalise ainsi un article en commantant des images prises par des cinéastes militaires le 6 juin sur les lieux où Maurice Chauvet a combattu.

 

 

Cet article que le site DDay-Overlord.com vous propose est publié le 14 juillet 1944 dans le premier numéro de la revue "Ensemble", un magazine destiné à être distribué aux Français tout juste libérés par les forces alliées.



Après la guerre, Maurice Chauvet a été l'un des conseillers militaires du film Le Jour le Plus Long et a décidé, constatant que les réalisateurs prenaient trop de libertés vis-à-vis de l'Histoire du Débarquement, de quitter l'équipe du film lors du tournage. Pour Maurice, l'Histoire ne doit pas être mal réécrite et c'est son combat actuel de faire respecter la vérité des faits.



Maurice Chauvet est le créateur de l'insigne des Commandos Français qui est aujourd'hui porté sur les bérêts des Fusiliers Marins Commandos de la Marine Nationale Française - cliquez ici pour voir l'insigne.



Aujourd'hui, Maurice Chauvet habite en France et chaque année, il se rend en Normandie commémorer la mémoire de ses amis, une mémoire qu'il veut véritable et sans modification dans le futur. Pour lui, le devoir de mémoire représente le devoir de la véritable Histoire.



Maurice Chavet a écrit des ouvrages sur cette période .



--------------------------------------------------------------------------------

 

"Nous avons vécu un moment qui sera certainement en bonne place dans l'histoire, mais nous ne nous en sommes aperçus qu'après. Nous, ce sont les commandos français du Capitaine Kieffer, lui-même intégré à la Brigade de Lord Lovat. Nous avons débarqué à Ouistreham faisant ainsi l'extrême gauche de tout le débarquement.



A notre camp, un mois avant l'ouverture du second front, nous avions étudié des photos aériennes et des plans détaillés en relief de l'endroit où nous devions débarquer. Nous ne savions rien de son emplacement sinon qu'il était sur la côte française. Très vite nous avons connu le terrain par coeur, et ce plan très incomplet, que nous savons depuis être un plan de Ouistreham, n'était destiné qu'à rappeler la position des points particulièrement importants.



J'ai ajouté les noms au plan, ainsi que des chiffres pour situer les photos qui suivent et vous permettre de comprendre l'action. Les défenses allemandes ne sont pas indiquées, nous les connaissons si bien. Elles consistaient en blockhaus et pille-box le long du boulevard Aristide Briand, avec un point fort au casino (x). Entre le casino et l'avant port, une fosse anti-char et sur cette pointe des lance-flammes. La mission des deux troupes françaises consistait à nettoyer les pilles-box à partir de B, de boulevard Aristide Briand sur le plan jusqu'au point fort du Casino, soit une douzaine d'ouvrages répartis sur cinq cent mètres environ.







Des LCIS en route vers Sword Beach.  





Voici les trois L.C.I.S (embarcations d'infanterie) dont deux étaient occupées par les troupes françaises. Partis à 21H d'Angleterre, nous avons passé une nuit très dure entassés dans les trois cales, avec tout le matériel. Le temps était gris. A perte de vue, la mer était couverte de bateaux. Au loin dans la brume, la côte française. Les coups sourds du bombardement de la R.A.F., sur la gauche des flammes rouge cerise et de la fumée, sans doute des lance-flammes. Des obus de la défense allemande coulèrent quelques barges. C'est l'heure H moins 20 environ. Le colonel du commando nous a fait bonjour de la main en passant le long du bord ; il a pris place dans une très petite barge d'assaut plus rapide que la nôtre avec à l'avant le drapeau blanc à croix rouge de la Marine de Guerre anglaise.









Débarquement des soldats Français.  



Je ne sais pas comment se sont passées les dernières minutes, les barges ont touché le sol, et les deux coupées ont été poussées, quatre matelots sont blessés sur le pont, des balles de mitrailleuses sifflent de tous côtés, venant de la gauche. Les garçons debout sur la deuxième barge sont Français. La barge a perdu ses deux coupées par un obus de 75 et je passe sur celle d'à côté, la 528. Il est 7H50. Je vois encore les trois pilliers en faisceaux, enfoncés dans le sable, avec une mine accrochée dessus, qui ont effleuré la barge : reste des défenses allemandes, assez abîmées par le bombardement.

Le commando au premier plan est un camarade anglais. Il porte une échelle. Il a sans doute été blessé, quelques secondes plus tard en mettant pied sur le sol. J'ai entendu dire qu'il était mort.



 

 La planche du débarquement de la barge du second plan est en train de tomber ; une douzaine d'hommes seulement l'ont empruntée, dont les deux officiers de la première troupe française, ils ont tous été blessés en mettant le pied à terre, par une seule bombe de mortier tombée au milieu d'eux. Si la coupée n'était pas tombée j'aurais été avec eux.









Les Royal Engineers débarquent sur Sword Beach.  



Des Royal Engineers, avec leur casque cerclé de blanc, étaient avec nous, et j'ai perçu un tank à cinquante mètres à droite, en débarquant, qui est sans doute celui qui est arrêté sur la droite de la photo. Après 25 ou 30 mètres dans l'eau jusqu'à la ceinture, il nous fallait traverser le plus vite possible le sable et les flaques d'eau pour atteindre le sable sec. Toute cette partie était balayée par un feu de mitrailleuse venant de gauche. Certains des hommes qu'on aperçoit couchés, se sont jetés à terre par un réflexe parceque une balle les a effleurés ; d'autres sont déjà blessés ou morts. Pour moi, aussitôt touché le sol, je me suis mis en marche le plus vite possible, avec de l'eau jusqu'à la ceinture, mais je ne me souviens pas d'avoir eu l'impression d'être mouillé. Il y avait déjà beaucoup de blessés, et tout le monde se rendait vers son emplacement de ralliement.

C'est à ce moment que j'ai aperçu le Capitaine Kieffer, commandant le détachement français, blessé à la cuisse ; un de nos infirmiers lui faisait un pansement d'urgence, et nous sommes repartis ensemble. Au passage, j'ai vu les gars de notre commando couchés là. A l'endroit où le sable commençait à être recouvert de végétation, il y avait un réseau de barbelés. Une brèche de 2 mètres y avait été faite. Il fallait se mettre en file pour passer. Je suis resté quelques secondes là à attendre mon tour. Un camarade m'a dépassé à ce moment, et me dit deux ou trois noms de ceux qui venaient d'être blessés.









Les commandos progressent dans Ouistreham sous les tirs allemands.



Debout dans un champ de mines, face aux mitrailleuses, c'est ainsi que le cinéaste a pris cette photo. Il lui a fallu un fier courage. La ligne de fond à gauche donne sur la mer, et à droite on devine les postes des petits baraquements. Au fond à entre les deux pignons de la maison, on devine le château, où étaient installées les mitrailleuses lourdes qui nous génèrent au débarquement. Au moment précis où cette photo fut prise les balles se croisaient en tout sens. La portion de terrain que les commandos traversent, au sortir de la brèche est minée. Juste au-dessus du sac du commando de droite, on aperçoit une tache noire, formée de quatre ou cinq hommes d'une troupe qui se regroupe. Chaque troupe de notre commando avait un bâtiment de rendez-vous, et ne devait repartir qu'après ce premier regroupement. Certaines troupes y laissèrent leurs sacs, avant de partir vers la route qui conduit à Ouistreham, en file indienne à travers les dunes.

Le château est enlevé. En passant les barbelés qui défendent la route, je croise le lieutenant Mazéas, de la première troupe, qui regagne la plage, une balle lui a labouré tout l'avant-bras. Le château tire toujours du toit et je traverse le parc en employant au mieux les couverts. A l'entrée du parc le premier allemand mort, à côté de son trou individuel.
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« Reply #4 on: June 18, 2010, 06:07:19 pm »
"Ce camp était bien plus strict que l'on peut imaginer: pas de permissions, pas de courrier, aucun contact avec l'extérieur.Nous n'étions déjà plus en Angleterre.



Cela nous avait plu, car c'était le but vers lequel nous tendions tous depuis quelques mois, depuis plusieurs années pour certains.

Dès le lendemain, commença une longue instruction. Dans les tentes où se déroulait le "briefing", des plans en relief représantant des plages, des villes, la campagne étaient dressées. Chaque jour, de nouvelles photographies communiquées par la RAF étaient apportées. Tel blockhaus n'existait plus, tel autre était endommagé, tel autre se construisait.



"Tu as bien compris ? répétait le commandant Kieffer au sergent Coste.

Ta barge de débarquement échoue là, juste à côté de ce point que tu vois sur cette photo.Ce sont des chevaux de frise, donc oblique un peu sur ta droite pour traverser la plage..."

Et plus tard:

"La grand rue qui conduit au port n'est pas plane.Sa partie droite est en contrebas, donc en rampant dans le ruisseau vous devez être à couvert des armes automatiques de ce petit blockhaus..."



Chaque jour, de nouveaux documents photographiques remettaient tout en question mais, peu à peu, nous nous imprégnions de cette topographie anonyme qui figurerait notre but et deviendrait, pour certain, le point final.



Le soir, l'un des sujets de conversation était naturellement le lieu du débarquement. Les pessimistes disaient d'un air pénétré:

"C'est en Belgique ou en Hollande!"

Nous les bretons, nous souhaitions vivre une opération en tenaille "Saint-Malo- Saint Nazaire", avec la jonction à Rennes.

Nous ne réalisions pas, jeunes chiens que nous étions, tout le cortège de destructions, de misères et de deuils qui allaient inévitablement accompagner une telle opération.

Tous ceux d'entre nous qui étions nés ou avions vécu au bord de mer, cherchions dans nos mémoires à reconnaitre un port, une plage.

Espéraient-ils ou craignaient-ils le hasard qui les ferait revenir si bruyamment chez eux?

Ils savaient que le débarquement c'était la mort, mais revoir son village avant les autres villages !



D'une tente voisine, la nouvelle se propagea: des Normands avaient reconnu les lieux, et le grand plan en relief de la salle de conférence suspend son anonymat. Tout devint plus terriblement proche de nous.

Le port c'est Ouistreham; le grand blockhaus, l'ancien casino; le point de débarquement La Brèche, près de Riva Bella, quels noms prédestinés !

Guy de Montlaur exulte.Ce casino lui a coûté cher avant la guerre.Il ne lui déplaira pas demain d'y casser quelques vitres, du moins symboliquement, car de la bâtisse style rococo qui abritait les beaux jours de l'avant-guerre, il ne reste rien et, à sa place, se dresse maintenant un monstre de béton percé d'ouvertures meutrières.

La nouvelle court, galope...et les anglais s'affolent car même le brigadier général Lord Lovat, qui commande la 1ère Special Brigade, à laquelle nous sommes rattachés, ignore les véritables noms qui devraient figurer sur les cartes.



"Messieurs, par suite de circonstances, vous connaissez le lieu du débarquement.Soyez discrets, n'en parlez à personne.Ne me dites rien : je ne veux pas le connaître."

Notre général ne sait rien. Il ne veut pas savoir (En réalité, lord Lovat connaissait les noms exacts de débarquement, mais il feignait de les ignorer, par souci de prudence).

Les Anglais n'ont décidément pas fini de nous étonner.[...]



La vie du camp est calme. Nous nous livrons à de longues parties de poker; le pier de lord Lovat joue interminablement de son instrument; culture physique, repos, conférences.

Nous avons déjà quitté la civilisation.L'aventure commence dans un engourdissement étrange. Nous sommes séparés des vivants et cela pourrait durer l'éternité si un matin, le 5 juin...

Nous sommes plusieurs milliers autour de lord Lovat. Il parle longuement en anglais. Cela veut dire:"On y va!", puis il conclut:"A mes camarades français, je ne dirai qu'un seul mot: Courage, demain matin on les aura, les Boches!(en français)".

Ca au moins nous avions tous compris.



source:

Gwenn-aël Bolloré, dit Bollinger.



Commando de la France Libre, 6 juin 1944

Editions du Cherche-midi, Paris, 1983



tiré du livre:

6 juin 1944 Le débarquement en Normandie

découvertes Gallimard Histoire
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« Reply #5 on: June 18, 2010, 06:09:16 pm »
article paru le 4/06/09, auteur : 2eRCP|Vazeille



regardez la vidéo du début



http://www.normandiememoire.com/index-film.php?lg=fr&gclid=CIeFzOeX8ZoCFZMU4wodoGf0JA
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« Reply #6 on: June 18, 2010, 06:10:16 pm »
Source : defense.gouv.fr, "forces en action". Interview réalisée par Aude Le Calvé



"Le Bon Dieu ne veut pas de moi.Dans ma vie, j’ai fait trop de bêtises.Le Diable non plus. Il a peur des commandos", s’exclame Jean Couturier.



Son regard vif et son sens de la répartie témoignent d’une existence toujours bien remplie.

Tout au long de sa vie, le courage et l’abnégation ont été ses guides. Jean Couturier fait partie de cette poignée de Français qui a débarqué aux côtés des Alliés, le 6 juin 1944, sur les plages normandes. Fusilier marin de la France libre, il est l’un des cent soixante dix-sept bérets verts du célèbre commandant Philippe Kieffer.



A 83 ans, Jean vient encore de remporter une « sacrée bataille ».

A sa demande, le ministère de la défense vient de financer une partie du projet des élèves de classe de 1re du lycée Pierre Poivre de La Réunion, à côté de chez lui.

Profitant d’une retraite bien méritée sur l’île « Intense », il ne reste pas inactif pour autant. En mai, il accompagne les élèves en Normandie pour retracer L’itinéraire d’un soldat de la Libération, un documentaire de 26 minutes sur les étapes successives de sa vie.

Le récit, guidé par le questionnement des lycéens et illustré par des documents d’archives, alimentera la réflexion sur l’héritage légué par des

hommes hors du commun.



L’enfer d’Achnaccary



Aujourd’hui, ses camarades sont de moins en moins nombreux.

Jean Couturier déplore leur perte, comme récemment celle du père René de Naurois, aumonier de la France libre. Ils s’étaient retrouvés lors

du 60e anniversaire du Débarquement, sur les lieux du camp d’entraînement le plus rude à l’époque, celui d’Achnaccary, en

Écosse.

En 1943, ils y avaient été formés au sabotage et à l’assaut, à la méthode britannique.

L’unité des bérets verts commandée par Lord Lovat, a accueilli un seul contingent français dans ses rangs, celui du commandant Kieffer.

Ils ont formé le 1er bataillon de fusiliers-commandos.

« À l’école d’Achnaccary, tout obstacle franchi difficilement la veille devenait dérisoire le lendemain. Les temps morts n’existaient pas », raconte Jean. Ceux qui y sont passés en ont gardé le souvenir d’un véritable enfer. Pourtant, c’est là qu’ils ont découvert leur force de caractère.

Le titre de « commando», gagné au prix du courage et de l’effort, ne leur a été attribué qu’à l’issue de tests de sélection et d’entraînement

extrêmement difficiles : traversées forcées dans la rivière gelée, assauts menés sous des tirs à balles réelles, formation à l’évasion, close-combat et autres techniques spéciales…

« À l’entrée du camp, les tombes s’alignaient. Sur chaque croix, un nom

et une pancarte, avec le motif du décès des candidats tués lors des entraînements.

Nous devions passer devant plusieurs fois par jour. Elles étaient fictives ou réelles. C’était une manière de nous rappeler les enseignements : agir sur la rapidité. »

Le jour J, face à la riposte allemande et aux obus de mortier, Jean avance sans réfléchir. Il est bien préparé :

« Notre rage et notre coeur ont fait la différence, rien ne

nous arrêtait plus, nous étions chez nous. »

Il ajoute :

« À Achnaccary, j’ai appris à lutter contre la faim, le sommeil et à endurer

les exercices les plus pénibles. Avec le recul, c’est grâce à ces entraînements que je suis resté en vie en Normandie et en Hollande, même si j’ai été blessé. Ils étaient indispensables. »

Longtemps oubliées dans les livres d’Histoire, les actions des commandos Kieffer sont aujourd’hui reconnues.

Des milliers de soldats français ont participé aux combats contre l’occupant. La différence, c’est que Jean et ses camarades l’ont fait

le jour J.

Pourtant, il a fallu attendre le 60e anniversaire du Débarquement pour que leur soit octroyée la Légion d’honneur.

Depuis quelques années, Jean et son épouse, Solange, habitent une maison modeste et paisible donnant sur un jardin coloré et luxuriant. Dans une pièce, il s’est créé son petit musée, où il entrepose soigneusement des objets de son passé militaire : photos, documents, médailles...

Mais s’il prend le temps de raconter « sa » guerre, Jean est résolument tourné vers l’avenir et les autres.

Il est 7 h 30, comme tous les matins, il est allé chercher son pain à la petite échoppe du coin. Il y lit son journal, parle de l’actualité avec ses amis. Outre l’affection, Jean inspire le respect.

« C’est notre vedette locale. Un exemple de courage pour plusieurs générations ici », lance l’un d’eux. Jean sourit avec une pudeur teintée d’ironie :

« Il ne faut pas croire que toutes les stars sont à Hollywood. »



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« Reply #8 on: June 18, 2010, 06:43:32 pm »
Contribution de Fletcher, mars 2007







Voilà des photos prises dans une ville juste à côté de chez moi :wink:











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« Reply #9 on: October 12, 2010, 09:22:52 am »
Contribution Riveau 05/02/09



Je crée un topic pour que l'ont mette toutes nos photos de reconstitution ou d'armement, en rapport avec la seconde guerre mondiale bien sûr !

Durant ces vacances je vais passer quelques jours chez lui et nous avons prévue de faire des petites reconstitution de combat, en nous habillant avec de vrai (pas de faux tous ont était utilisé par de vrai soldat) uniformes. Bon nous ne sommes que deux car nos amis ne partage pas notre passion (malheureusement!). Mais bon sa devrais tout de même être superbe !!!



Voici les premières photos qui date de l'année dernière, depuis sa collection c'est largement agrandit :



Riveau et la thompson :

http://www.monsterup.com/upload/1208293175.jpg



Richemont et la PPS41 :

http://www.monsterup.com/upload/1208293268.jpg



Riveau et la PPSH :

http://www.monsterup.com/upload/1208293363.jpg



Richemont et le mauser98k :

http://www.monsterup.com/upload/1208293445.jpg



Riveau et le lee-enfield :

http://www.monsterup.com/upload/1208293709.jpg



Richemont et le lee-enfield :

http://www.monsterup.com/upload/1208293585.jpg



Richemont et deux Sten dont une de commando :

http://www.monsterup.com/upload/1208293779.jpg



Riveau et une Sten :

http://www.monsterup.com/upload/1208293854.jpg



Richemont et un canon de calibre 12.7mm :

http://www.monsterup.com/upload/1208293941.jpg



Riveau et la Bren :

http://www.monsterup.com/upload/1208294085.jpg



Richemont et la Bren :

http://www.monsterup.com/upload/1208294013.jpg



Deux mannequins allemands :

http://www.monsterup.com/upload/1208294172.jpg



Richemont avec une casquette d'officier de la totenkopf avec un bléssé de guerre allemand :

http://www.monsterup.com/upload/1208294256.jpg



Riveau avec une casque SS allemand :

http://www.monsterup.com/upload/1208294327.jpg



Le week end prochain, vous allez bavez devant nos photos  :wink:
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« Reply #10 on: October 12, 2010, 09:24:31 am »
Contribution Riveau, 14/02/09



Richemont et L'mg34





Richemont et L(mg34





Riveau tenue d'hiver SS Totenkopf avec la PPSH





Richemont en Officier SS Totenkopf





Richemont en Officier SS Totenkopf avec la Mp40





Richemont en Officier SS Totenkopf vous salut





Obus de 88, appartenant à un Panther





Canon 20mm Allemand DCA avec pale d'avion Mescherschmitt





Journal allemand, avec canon de moteur allemand.





2 réservoirs auxiliaire de Mescherschmitt avec bidon d'essence Allemand











Cadre honorant un résistant mort à Trassanel (Dans l'Aude près de chez nous).





Fouillis





Casquette américaine





Officier Allemand





Richemont avec un C-96





C-96





Le C-96 dans son boitier





Riveau en officier Français tranchant la gorge à un Allemand





Riveau en officier Français visant avec Lebel





Riveau, en officier Français visant avec Lebel





Mannequin Officier Français





Richemont se parant de son lancer de grenade





Richemont en plein lancé





Richemont et la thompson qui vise





Un air de BOB ? (Band of brothers, pour les incultes)





Richemont, vise avec la thompson





Richemont posant avec la thompson

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« Reply #11 on: October 12, 2010, 09:28:59 am »
Contribution Flesch, 03/11/07



Photos 101ème FLESCH



Voilà quelques photos de mon tout nouvel uniforme :



LES BOTTES DE SAUT (150 euro ) + LE FILET DE CASQUE ( 15 euro ):







LA VESTE 1942 RENFORCEE + PANTALON + INSIGNE ( 100 euro) :















ET LE CEINTURON ( 15 euro ) :









Voilà ce que cela donne sur moi : ( bon je suis un peu fatigué là mais bon )











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« Reply #12 on: October 12, 2010, 09:34:39 am »
Contribution Laventure2, 30/09/06









 voila je suis allé en Normandie et je fait des reconstitution,je voulais vous faire partager ces moments.

































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« Reply #13 on: October 12, 2010, 09:35:46 am »
Contribution 2eRCP YAKOV 28/02/07



Des Photos a moi de Stoumont:  http://2rcp.scboffspring.com/forum/viewtopic.php?t=44    :wink:
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« Reply #14 on: October 12, 2010, 09:37:52 am »
Contribution DORFSMAN 07/11/07



Voila mon matériel US WW2 (original et copie)



Tout d'abord mes Brodequins Type III (copie) avec les Guetres pour troupes à pieds M-1938 (originales: A.R.Hyde & Son Company   daté du 15 octobre 1942)







Mes deux gourdes avec quarts et housses tous originals

Les gourdes sont toutes deux marqué   SM Co 1944

Une housse est marqué Shane Mfg Co 1942, le marquage de l'autre est illisible, je vois juste 1943

Un quart est marqué TACU Co 1941 et l'autre GM Co 1943.











Ma musette d'infirmier avec sangle M-1936 (originales)

La musette est marqué au nom de Frederick H. Beltz originaire de Pennsylvanie   et la sangle est British Made datée 1944.







Ma gamelle M-1910 (original) marqué EA Co 1945







Mon havresac M-1928 avec pochette à gamelle, Poignard USM3 (originaux) et Ceinturon M-1936 (copie).



Le havresac est marqué Crawford-Austin Mfg Co 1941 et porte un matricule (B.b055)

La pochette à gamelle ne porte pas la marque du fabriquant mais un matricule (O472)







Mon brelage complet avec une musette M-1936 (copie)







Voila maintenant ma Veste M41 (copie) avec insignes de division et de grades et ma 1ère chemise moutarde (originale)







Mon pantalon moutarde (original)







Ma deuxième chemise moutarde (originale)







Et enfin mon casque avec filet de camouflage (copie)











Dans le courant de la semaine prochaine vous me verrez dans mon bel uniforme :D



Me voila enfin:



http://img137.imageshack.us/img137/9733/327thks7.jpg



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- On ne baisse pas la tête de la même façon selon que l'on se fait tirer dessus par balles réelles ou par balles à blanc.

- "L'objet de la guerre n'est pas de mourir pour son pays, mais de faire en sorte que le salaud d'en face meure pour le sien" ( Patton )