Le Game Developers Conférence ont commence le 28 février, donc dans très bientôt nous pourrions avoir l'annonce d'un futur gros blogbustter, comme par exemble la suite de Modern Warfare 2, Modern Warfare 3!
Le studio Infinity Ward s'est reconstruit, et, avec Sledgehammer et Raven Software, a recommencé le chantier Modern Warfare 3, et sortira (non confirmé officiellement) le 11 novembre de cette année.
Des dizaines et des dizaines de sites commencent à affirmé que Modern Warfare 3 sortira en novembre, même Wiipédia l'affirme, en parlant plus au conditionnel mais au futur! Selon eux, il sortira sur Xbox 360, PS3, Wii et PC.
Cliquez ici pour tout savoir de Modern Warfare 3!
Il y aura pas moins de trois développeurs différents travaillant sur Call of Duty Modern Warfare 3
Infinity Ward, le créateur de Call of Duty, travaille sur le mode solo.
Sledgehammer Games, qui a rélisé les Dead Space (élus meilleurs jeus survival-horror de l'année), a pour job de filer un coup de main sur le solo.
Raven Software s'occupe du mode multijoueur. Ce studio a déjà réalisé les maps des DLC de Black Ops.
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L’affaire Activision/Infinity Ward est rocambolesque. Depuis l’arrivée de vigiles dans le studio de développement jusqu’à la lente hémorragie qui le touche, on se croirait dans une pièce de théâtre de boulevard, et un nouvel acte s’écrit aujourd’hui. Un groupe de 38 plaignants appelé Infinity Ward Employee Group attaque Activision pour bonus impayés d'un montant de 54 millions de dollars, comme nous l'apprend G4. Mais ils ne se contentent pas de vouloir récupérer cette somme, et demandent une compensation supplémentaire pour espérer obtenir au final entre 75 et 125 millions de dollars. Vous trouvez que c’est élevé ? Attendez la suite…
En plus de vouloir récupérer cette prime, l’Infinity Ward Employee Group accuse l’éditeur d’avoir bloqué ces bonus afin de tenir les employées en otages, pour qu’ils continuent de travailler sur Modern Warfare 3. Modern Warfare 3 serait donc bien en développement chez Infinity Ward... Mais ne nous égarons pas et revenons à l’affaire. Pour cette “prise d’otages“, ces employés (encore à Infinity Ward ou non) demande en plus entre 75 et…. 500 millions de dollars ! Si on fait les comptes, l’Infinity Ward Employee Group, composé de 38 personnes, réclame donc à Activision entre 150 et 625 millions de dollars. Petite coupure ou chèque. Ils ne sont regardants sur la forme.
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Et si une injonction interdisait à Respawn Entertainment de faire des FPS de guerre ? Impossible ? Pas forcément...
Le dernier rebondissement de l'affaire Infinity Ward peut-il avoir des conséquences sur les projets de Respawn Entertainment, le nouveau studio de Jason West et Vince Zampella, ex-cadres de la licence Call of Duty pour Activision, qui travaillent aujourd'hui avec Electronic Arts ? EA qui a donc été ajouté à la liste des accusés par Activision dans ce procès après que l'éditeur a découvert que son rival est peut-être à l'origine de tout ce marasme, et ce dans le seul but de récupérer les éléments les plus talentueux ayant oeuvré sur la série des CoD. Nos confrères de chez Eurogamer ont interrogé quelques spécialistes pour savoir ce qu'il en est, et a priori, la démarche serait tumultueuse, mais pas improbable.
"C'est une injonction possible vu les circonstances de l'affaire si les faits sont avérés, mais il y a tellement en jeu que cela ne sera pas la priorité de la cour, d'autant plus que cela serait évidemment contesté par Respawn Entertainment et que cela rallongerait encore le procès en alourdissant les choses. Je pense que la justice va d'abord se concentrer sur le paiement des royalties à West et Zampella, avant de savoir si EA est coupable de ce qu'Activision lui reproche, et si des dommages et intérêts peuvent réparer cela" explique Jas Purewal, juriste spécialiste des affaires dans le monde du jeu vidéo.
Mais pour Michael Pachter, sans parler d'une quelconque interdiction de travailler, il est évident que cette affaire aura des répercussions sur les jeux en question, sur Call of Duty, sur Medal of Honor, sur le jeu de Respawn : "Il y a des sommes en jeu. Des royalties à payer. Une atmosphère et des différends à gérer, parfois entre anciens collègues. Forcément, dans ce contexte, cela laissera des traces dans le milieu et aura un impact direct ou indirect sur la production des prochains jeux du genre (...) Et une injonction contre Respawn Entertainment est envisageable, surtout si la justice réussit à prouver la théorie d'Activision".