Author Topic: Excuses  (Read 524 times)

Jung

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Excuses
« on: March 05, 2012, 03:12:22 pm »
Je vous pris de bien vouloir accepter mes excuses concernant le message dans "BERET VERT REUSSI POUR..." étant sur l'ordinateur portable de mon père, les précédents messages ne s'affichaient pas jusqu'à ce que j'ai posté le miens. C'est vrai que malheureusement je n'ai pas eu le réflexe de regarder la date du message concernant Guezennec.
Donc encore une fois, veuillez m'excuser...

Bolloré

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Re : Excuses
« Reply #1 on: March 05, 2012, 03:18:29 pm »
Euh , Jung, tu sais , c'est pas grave hein ! Tu n'as pas a faire de tel excuses pour si peu  ! ^^
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Jung

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Re : Excuses
« Reply #2 on: March 05, 2012, 03:58:26 pm »
Oui mais quand même je passe pour un idiot alors que je ne voyait pas les autres messages...

Renault

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Re : Excuses
« Reply #3 on: March 05, 2012, 05:37:29 pm »
Après vote à l'État Major, voila ce qui te sera infligé.



Quote
La torture par l'eau

Le corps de l'accusé était lié sur une planche inclinée ou pendu en l'air à des cordes fortement serrées et le corps soutenu par un tabouret. La victime devait alors avaler une énorme quantité de liquide: 6 litres pour la petite torture et 12 litres pour la grande. Celui qui serrait les dents se faisait déchiqueté la bouche par le bourreau à l’aide d’une pince en fer. Celui-ci continuait alors, à l’aide d’une carafe, à faire ingurgiter l’eau dans la bouche du torturé. Beaucoup de ces victimes étouffaient ou éclataient littéralement, du fait que leurs anus et l’urètre furent consciemment bouchés ou noués. 

Mutilation physique

Une autre torture consistait à visser et à griller la langue, ou encore à écraser les mains sur une enclume ou à sectionner les mains et les pieds à l’aide d’une hache. «Les sorcières» ou les femmes jugées immorales eurent le nez et les oreilles coupés; les juifs accusés de vol, étaient pendus par les pieds entre deux chiens ou deux loups affamés. Une cruauté bien particulière consistait à étriper la victime. Leur ventre était ouvert au couteau, une partie de l'intestin était extirpée puis attachée et enroulée à une poulie.

«La vierge de fer» *

La vierge de fer représente «un chef-d’œuvre» de la ferronnerie qui devait servir à préserver la pureté de la foi: il s’agissait d’une cape allant jusqu'à terre, cependant non faite d’étoffe mais de fer. La partie supérieure de la cape représentait une tête au visage de femme. En réalité la cape était un caisson de fer équipé de portes. A l'intérieur des portes ainsi que sur le dos du caisson étaient fixés des pointes de fer. La victime, prisonnière de l'inquisition, était placée à l'intérieur du caisson. Puis les portes se refermaient lentement, de sorte que «les pointes de fer perforaient ses bras, de même que certains endroits de ses jambes, de son ventre, de sa poitrine, sa vessie, les parties de son corps se trouvant à la racine de son membre viril, ses yeux, ses épaules et son postérieur, sans toutefois la tuer», tout au moins pas immédiatement. La mort ne survenait généralement qu’après quelques jours d’atroces douleurs et de cris effroyables.

«Le berceau de judas»

«Le berceau de judas» est une méthode qui n’a pas son pareil. La victime de l’inquisition était tirée vers le haut à l'aide d'un treuil et placée sur la pointe d’une pyramide en bois. Son poids entier ne reposait plus que sur le vagin ou l'anus, le scrotum ou le coccyx. Le supplice était encore amplifié du fait que le bourreau tirait la victime vers le haut, la relâchait, la balançait ou la laissait sans cesse retomber sur la pointe.

«La fourche d'hérétique»

«La fourche de l’hérétique» avait également un sens «religieux» puisqu’elle représentait un moyen visant à défendre la vraie foi. Quatre pointes de fer perforaient la victime sous le menton et perçaient le sternum, de sorte qu'elle ne pouvait plus bouger la tête et à peine parler distinctement. Mais pour l’inquisiteur, cela suffisait, car la victime n'avait qu'à balbutier le mot «abiuro» («j’abjure») gravé dans «la fourche de l’hérétique» qu'il lui suffisait de lire.

«Il faut entendre les cris de ces malheureux! Il faut lire ce qui fut écrit des cachots, les femmes à leurs maris, les pères et mères à leurs enfants, les protestations de leur innocence, les adieux pour toujours.»
(L'historien Karlheinz Deschner, Eglise du malheur, Munich 1979, p. 28 de la version allemande)

Scie et pieu

Egalement de simples outils, comme «la scie» et «le pieu», pouvaient tout à fait convenir au but des inquisiteurs. Les luthériens, par exemple, après leur victoire sur les agriculteurs insurgés, ont mis à nouveau la scie à l’honneur contre quelques meneurs. Ceux-ci étaient suspendus la tête en bas et la scie, placée entre les jambes, pouvait alors commencer «son travail», en «avançant progressivement» du nombril à la poitrine. Presque encore plus cruel – si cela est encore possible: l’empalement de la victime. Celle-ci était empalée, martelée – enfoncée sur un pieu de bois ou de fer au niveau de l'anus préalablement huilé, jusqu'à ce que le pieu pénètre enfin et ressorte par l'estomac, la poitrine ou l'épaule …

D'autres outils de torture

La simple énumération des outils de torture – l’étau à genoux ou l’étau destiné aux pouces, le serre-bouche en fer, les outils pour marquer au fer rouge, les colliers de chaines, «le chapelet» à accrocher autour du cou (d’une longueur d’un mètre, d’un poids d’environ huit kilos), les anneaux de fer verrouillés au cou de l'hérétique, les cages en fer, les étaux destinés à la tête et les vis à crâne, les fouets de chaines, les collerettes épinées, la ceinture de force, le «clitoris espagnol», pourvu de pointes tranchantes, les tenailles et cisailles, la roue de torture et ainsi de suite – tout cela témoigne de la passion inventive et perverse des inquisiteurs et de leurs complices, et démontre la monstrueuse «passion pour la cruauté», caractérisant le christianisme d’Eglise qui ne sera égalé par aucune autre religion.




Des questions Jung ?


Je plaisante bien entendu (je précise...).
« Last Edit: March 05, 2012, 05:46:45 pm by Renault »






Fourer

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Re : Excuses
« Reply #4 on: March 05, 2012, 05:44:50 pm »
J'aime ton HUMILITE pas comme certain

Eliendar

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Re : Excuses
« Reply #5 on: March 05, 2012, 05:46:04 pm »
Second Maître vous gardiez tous sa en réserve et on m'a même pas proposé ?

Jung

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Re : Excuses
« Reply #6 on: March 06, 2012, 09:07:35 pm »
Ouah!! Des tortures que je ne connaissais pas... (Celle du pieu me plairais bien tiens...)